NOTRE BRANCHE NOBLE

DE LA CHAPELLE     Seigneurs de la Bofferière, de Turzay et de la Coudre , de Champigné  et des Aulnais.                                                   

 
o Jean 1340 & ? ?
o Guillaume 1370-1425 & ? ?
o Jean 1400 &1439 Jeanne DE VILLEPROUVEE  dame de Cangen, épousa par contrat de l'an 1439, Jean de la Chàpelle1 écuyer sr

dudit lieu de Champigné et des Aulnais. Ce fut à elle que son frère aîné laissa par testament sa terre de Cangen.

parents :  Jean de VILLEPROUVEE et ISABEAU DE COURCERIERS ( parents de Isabeau :  GUILLAUME DE COURCERIERS et Jeanne d'AVAUGOUR

famille des Seigneurs de Bretagne qui nous mène au roi LOUIS IV)

o Jean 1435-1500 & Isabelle BOURRE   fille de Guillaume Bourré également appelé Monsieur de la Brosse

. Drapier à Chateau-Gontier dit Monsieur de la Brosse, « gens de moyen estat », drapier à Château-Gontier ; décédé en 1463 –

 Mère : Bertranne Briand, dame de Brez, réputée noble, décédée en 1472. Tous deux enterrés à l’église St Jean (Château-Gontier) -

soeur de Jean Bourré (1424-1506) est un homme d'État français marié à Marguerite de Feschal.
Jean Bourré est issu d'une famille de bourgeois angevins de Château-Gontier (Mayenne angevine).
Entré au service du futur Louis XI, qui n'est encore que le Dauphin, vers 1442, il devient par la suite secrétaire et maître des comptes, il est anobli en 1465 et fait trésorier de France en 1474. Il continue d'exercer ses charges sous Charles VIII, dont il fut le gouverneur, jusqu'à la mort de celui-ci en 1498.
De son séjour en Bourgogne et en Flandre, Jean Bourré a rapporté une passion pour la construction et les beaux arts.
Il a fait construire le château du Plessis-Bourré à Écuillé dans le Maine-et-Loire ainsi que le château de Jarzé et reconstruire l'église de Jarzé.

o Jean 1468 & Hélène THIERRY
o François 1510-1567 &1544 Jeanne DE LA GRANDIERE Fille de Guillaume de La GRANDIERE (Seigneur de Montgeoffroy) et Marie De SOUCELLES
o Françoise 1554-1597 & François DE LA FERRIERE 1548-160 Seigneur des Gastines de la paroisse d'IsséFichier:Blason famille de la Ferrière.svg

 

DE LA GRANDIERE

Titres: seigneur de Montgeoffroy(Mazé 49), seigneur de Foulles, de Lavau et de La Clairembaudière

Guillaume de La GRANDIÈRE

Marié le 18 avril 1521 avec Marie de SOUCELLES /1510-1523/ (Parents : Anseau de SOUCELLES & Madeleine de BAÏF) dont
 Anceau de SOUCELLES x Madeleine LE BAÏF soeur de l'illustre Lazare LE BAÏF ambassadeur de François Ier à Venise et maitre des requetes et de Marthe LE BAIF dame de Chemans, fille de Jehan de BAIF sgr de Baif (Sablé-sur-Sarthe, 72), de Mangé et des Pins et Marguerite CHASTEIGNIER d'où
1. Marie de SOUCELLES x 18.4.1521 pc Pelletier notaire à Angers Guillaume de LA GRANDIERE seigneur de Montjouffray, de la Clairambaudière, de Foulels et de Lavau. C'est lui qui fera bâtir en 1543, la belle chapelle Sainte-Catherine de Montgeoffroy (témoins au mariage, Jean de CHEMANS seigneur de Moulins, René LE BAIF seigneur de Baif et Adone LE BAIF prieur de Champagné d'où
a. François de LA GRANDIERE seigneur de Montjouffray et de la Saulaye x 29.4.1544 au château deu Verger, en Anjou devant Mtre Jacquet notaire à Mathefelon Marguerite de SARCÉ fille de René de SARCÉ fille de noble René de SARCÉ seigneur de Sarcé et Catherine de PERIERS (témoins Ambroise de MAILLÉ dame du Bouchet et Jean de SARCÉ
b. Jeanne de LA GRANDIERE x 20.11.1544 François de LA CHAPELLE écuyer seigneur de la Coudre et de Turzay d'où postérité

 

En 1772, le maréchal de Contades décide de détruire l’ancien château et de faire bâtir à sa place un autre château plus adapte à son rang. Le maréchal fait appel à l’architecte parisien Nicolas Barre pour la construction de la demeure. Les douves, les tours du XVIeme siècle et la chapelle de René de La Grandière datant de 1543 furent néanmoins conservées.

 

 

 

DE LA CHAPELLE     Seigneurs de la Bofferière, de Turzay et de la Coudre , de Champigné  et des Aulnais.                                                   

 

 

Archives de Maine-et-Loire, série E, carton 4149. Du 14 mai 1446, acquit et reconnaissance donnée par Jean de Champagné sr de la Motle-Ferchaut bail à cause de Jeanne de Villeprouvée et des enfants mineurs de feu Jean de la Chapelle et d'elle au regard de la terre dudit lieu de la Chapelle, paroisse de Champigné par lequel il confesse avoir reçu de Souvestre de la Barre plaine satisfaction et loyal paiement du contrat d'échange par lui fait avec Colas Mauviel, de certaines vignes sises au clos de la Fontaine près la ville deChampigné.... desquelles ventes il se tient pour bien payé...

Château des Briottières
Chambre au Château
49330 Champigné - Angers (20 km)

Avant 1485, il passe à Jean de La Saussaie par son mariage avec Jeanne de Mergot. Il est acquis en 1519 par René de Baïf, mari deCatherine de Champchevrier, laquelle y fit édifier, en 1528 , la chapelle de Saint –Bonaventure .
Cette chapelle est dédiée à Saint Louis.
La terre comprenait alors cinq métairies et deux closeries et s'accrut d'importance, notamment du fief de la Chapelle. Les seigneurs sesuccèdent : René de Baïf jusqu¶en 1546, Maurice Chevallerie en 1560 et enfin, en 1574, Guillaume Lesrat, Lieutenant –général duSénéchal d'Anjou, dont la famille conservera l'ensemble jusqu'à la révolution.

         DE VILLEPROUVEE   chevalier, seigneur du lieu, du Mesnil , de la Roche-Normand, de Cangen

 

o Jean †1380 &1340   Jeanne DE VILLE                                                                                                                                                             

            o Jean 1371 &1394 Isabeau DE COURCERIERS                                 

      o Jeanne &1439 Jean DE LA CHAPELLE 1400                                                                               

DE COURCERIERS  Chevaliers, Seigneurs du lieu, de la Ferrière, la Bigeottière, du Plessis de Cosmes, Cangen, Carrouge, Fretoy, Saint-Léonard-des-Bois, Chamarain, la Fresnaye

o Guillaume †1397 & ? ?

o Guillaume & Jeanne D'AVAUGOUR   famille des Seigneurs de Bretagne jusqu'à Louis IV (voir page)  Guillaume de Courceriers, appelé le Jeune, chevalier,

seigneur du lieu, de la Ferrière, Casrouge, le Plessis de Cosmes, Cangen, servait en 1380. Il fut marié à Jeanne d'Avaugour fille de Juhael

chevalier seigneur du Parc de la Roche-Mabille et de Jeanne de Chources-Malicorne (dont Isabeau de Courceriers mariée à Jean de Villeprouvée ,

dont Jeanne de Villeprouvée mariée à Jean de La Chapelle .......dont

François de La Chapelle marié à Jeanne de la Grandière  fille de Guillaume de la Grandière Seigneur de Montgeoffroy et Marie de SOUCELLES

o Isabeau &1394 Jean DE VILLEPROUVEE..

                                                   à lire :http://www.saint-thomas-de-courceriers.eu/132.html

                                                            http://www.capedia.fr/geneal7/G_Index.php?nom=COURCERIERS

concerne toute la lignée de la famille de VILLEPROUVEE (dont Jeanne mariée à Jean de La Chapelle) et de COURCERIERS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Moulin à St-Aubin du Pavoil 

 familles :

ADAM
d'ANGRIS
BUARD
CHERBONNEAU
DAVY
GAULT
SALMON
 DE VILLEPROUVEE

 

Villeprouvée, en Saint-Aubin-du-Pavoil
Le fief de Villeprouvée sur la paroisse de Saint-Aubin-du-Pavoil, aujourd’hui commune
de Nyoiseau. Il comprenait au moins la closerie de Villeprouvée, les métairies de Villeprouvée
et de la Chantelaye, les étangs, et en relevait la Ménité appartenant au temporel du prieur de
Saint Blaise de la Gravoyère, le tout relevant de la Gravoyère.
Ce fief, avec maison seigneuriale, jardin, étangs, appartient jusqu’au 16e siècle à une
famille de ce nom

                             Donjon de Trèves.

Château de la Férrière

 Le corps de logis principal, couvert en longs pans, ainsi que les deux pavillons qui le flanque semblent être 
des constructions du XIVe siècle, il fut toutefois rehaussé au cours du premier quart du XXe siècle pour améliorer
le logis seigneurial de la famille Villeprouvé : trois travées à meneaux et croisées et deux lucarnes à pignons
contribuèrent à éclairer les espaces intérieurs. Le pavillon sud-est (dit St-Aubin) fut remanié à la même époque: 
des baies de mêmes profils venant homogénéiser les élévations. Des travaux furent entrepris au XVIIe siècle,
surtout pour l'aménagement intérieur, au rez de chaussée du logis et à l'étage du pavillon St Aubin (cheminée).
 


La tombe mégalithique du château de la Ferrière est un site archéologique situé à La Ferrière-de-Flée,

http://gifs.toutimages.com/images/webmaster/barres_lignes/ligne_2_067.gif

 

SEIGNEURS DE COURCERIERS

1422-1552

Armoiries : de gueules à la bande d'argent, accostée de deux cotices d'or.

La famille de Villeprouvée, — de Villa probata — tire son nom d'un fief1 situé dans la paroisse de Saint-Aubin-du-Pavoil, actuellement commune de Nyoiseau,

canton de Segré (Maine-et-Loire) et relevant de la seigneurie de la Gravoyère.

On trouve dès le XII e siècle les seigneurs de ce nom bienfaiteurs des abbayes de Nyoiseau et de la Roë (V. Cartulaire, folio 118bis).

L'abbaye

abbaye de Nyoiseau (famille de Villeprouvée, bienfaiteurs de l'Abbaye)

 

Comme le château de Courceriers était ruiné et inhabitable, ils résidèrent tantôt à la Ferriere, où leurs armoiries sont sur une lucarne, tantôt à la Bigeotière, ou à Tresves,

 sur les bords de la Loire. On y voit encore, dans les soubassements, une clef de voûte à leurs armes

La terre, fief et seigneurie, comprenait au XVIe s., outre le domaine, deux métairies, deux fiefs et une dîmerie inféodée, la haute justice et les droits de sceaux et contrats relevant de la baronnie de Candé.— Le tout appartenait aux seigneurs de la Bigeotiùre et y fut annexé au XVIIe s. sous le titre de châtellenie, quand fut érigé le comté.

Une des Résidences de la famille de  Villeprouvée

BOURG D'IRE

ADAM
BRANCHEREAU
BUARD
MANCEAU
 

 

1 La branche de cette famille  a possédé les fiefs et seigneuries de : la Bigeolière, au Bourg d'Iré. la Ferrière de Fiée, la Richardais, le Marais. Mesnil, en Challain, la Roche-Normand, en Vergonne ; la baronnie de Trèves, à Trèves-Cunault, la Valinière, en Saint-Saturnin, Quincé en Feneu

Armoiries : de gueules à la bande d'argent, accostée de deux cotices d'or.

1er Degré. Jean de Villeprouvée, chevalier, sr du lieu, du Mesnil, de la Roche-Normand, assista à la bataille de Poitiers en 1356. Il avait épousé vers 1340 demoiselle Jeanne de Ville, d'une famille qui portait pour armoiries : de gueules à la croix ancrée d'or. Il mourut en 1380, laissant plusieurs enfants : Jean, qui devint sr de Courceriers, Maurice, Jeanne et sans doute aussi Alienor.

 

o Jean 1371 &1394 Isabeau DE COURCERIERS 

                                                  Isabeau de Courceriers (IX e degré) porta  la terre de son nom dans la famille de Villeprouvée par son mariage avec Jean, seigneur du lieu.

 

Ruines du château de Courceriers

 

1. Jean de Villeprouvée, chevalier, sr du lieu, déclaré majeur le 16 septembre 1392, rendit aveu au roi de ses terres ; il épousa le 23 mars 1394 demoiselle Isabeau deCourceriers, fille ainée de Guillaume de Courceriers, chevalier, et de Jeanne d'Avaugour. Celle-ci, après avoir vu mourir successivement ses deux frères et leurs deux enfants, recueillit en 1422 le riche héritage de sa maison, et apporta à son mari les seigneuries de Courceriers, de la Ferrière, de Cangen, de Casrouge. Ils étaient morts avant 1424 laissant sept enfants :  Jean, Cesbron, qui a continué la filiation, Guillaume, Jeanne, Catherine, Françoise et Isabeau.

Bibliothèque nationale, fonds Duchesne, vol. 56, p. 61. — En nostre court d'Angiers, en droict et par devant nous, personnellement establis nobles personnes messire Guillaume de Courcerieux, chevalier, paroissien de Laigné près Chasteau-Gontier soubzmettant soy et tous ses biens presens et à venir au pouvoir et en la jurisdiction de nostre cour, quant à ce qui s'ensuit, confesse que en parlant, traictant et accordant le mariage d'entre noble personne Jehan, seigneur de Villeprouvée, escuyer d'une part et demoiselle Isabeau de Courcerieux, fille dudit chevalier d'autre part il a donné à sa dicte fille en mariage audit Jehan de Villeprouvée 50 livres de rente assises et assignées sur sa terre Duillé1 de laquelle somme il a promis et tenu rendre et payer par sa main audict Jehan de Villeprouvée et à sa dite fille et à leurs hoirs et ayant cause d'eux vingt cinq livres de rente etc.....

 

Laigné

                                                                                       messire Guillaume de Courcerieux, chevalier, paroissien de Laigné près Chasteau-Gontier

 

 Jean de Villeprouvée, écuyer, sr du lieu, de Cangen, de la Ferrière, fut blessé à la bataille de Verneuil et mourut des suites de ses blessures après avoir fait son testament le 4 août 1424. Il demandait à être enterré à Nyoiseau dans la chapelle de ses ancêtres et donna la terre de Cangen à sa soeur Jeanne.

 Jeanne de Villeprouvée, dame de Cangen, épousa par contrat de l'an 1439, Jean de la. Chàpelle écuyer sr dudit lieu, de Champigné et des Aulnais. Ce fut à elle que son frère aîné laissa par testament sa terre de Cangen, chapelle seigneuriale de Cangen dans la paroisse de Laigné,près Craon;-

 

Donation le 13.5.1626, Dvt
Jehan Chapellain et René Contesse notaires royaux au chastelet de Paris, de messire Hilaire de Laval, chevalier, marquis de Lezay seigneur de la Bigeottière de la Ferrière Segré la Roche Normand Villeprouvée et autre lieux, Dt ordinairement à la
suite et près de la personne du roi, étant de présent logé en la maison où pend pour enseigne
le bois couronné sur des deux écus paroisse Saint Eustache, à Jean Porcher, Sr de la Combe,
son argentier, la maison noble de Villepouvée avec une closerie qui en dépend appelée la closerie de Villeprouvée, en la paroisse de saint Aubin du Pavoil, dont jouit à présent Jehan Bellanger, sans rien réserver sinon les étangs et 2 métairies que tient à présent le sieur de la
Lande, l’une appellée la métairie de Villeprouvée, l’autre la métairie de la Chantelaye, avec les
bois taillis et haute futaie qui en dépendant…, échue audit donataire par le décès de haut et
puissant seigneur messire Pierre de Laval chevalier des ordres du roi…, donation faite en ré-
compense des bons et agréables services qu’il lui a rendus pendant le temps de 15 ans qu’il a
demeuré près la personne et au service dudit seigneur donnateur ès collaige academy armée
et voyages qu’il a faict en divers endroits et partout ailleurs où il a plu audit seigneur
l’employer.

 DE COURCERIERS

GUILLAUME DE COURCERIERS et Jeanne DE COUESMES

Jeanne de Couesmes, dame de La Bigottière, née vers 1275. Elle épouse Guillaume ier de Courceriers vers 1300. De ce mariage naît Guillaume ii de Courceriers. Ce sont des voisins ; le château médiéval de Courceriers, à Saint-Thomas-de-Courceriers, est proche de Bourgon. Ce château a survécu sous forme de ruines. Celui de La Bigottière semble ne plus exister, mais il y a plusieurs fermes de ce nom aux alentours de Montourtier, dont une à Louverné. fille de 
Guillaume de COUESMES 1220
Héloïse de CRAON 1230

o Guillaume †1397 & ? ?

o Guillaume & Jeanne D'AVAUGOUR

 Guillaume de Courceriers, appelé l'Ancien, chevalier, seigneur du lieu, de la Ferrière, la Bigeottière, du Plessis de Cosmes, Cangen, Carrouge, Fretoy, Saint-Léonard-des-Bois, Chamarain, la Fresnaye, l'un des gentilshommes de Jeanne de Laval, veuve de Bertrand du Guesclin2, fit garde de trois mois en 1367 au château de Sablé, pour le sieur de Craon3, transigea avec l'abbaye de Bellebranche en 1370, avec celle de Champagne en 1376, servait encore en Flandres contre les Anglais en 1383... 11 épousa en premières noces une femme dont le nom est inconnu, il en eut deux fils : Guillaume et Brisegault, et en deuxièmes noces, vers 1360, Jeanne de Laval4, fille d'André de Laval, chevalier, seigneur de Chastillon-en-Vendelais et de Eustache de Beauçay, dont il eut quatre filles : Marguerite, Jeanne, autre Jeanne et Roberde. Il testa en 1397 et fut inhumé en l'abbaye de Champagne. Son testament, imprimé ici en son entier, est un des monuments les plus curieux, nous renseignant sur les moeurs et les goûts artistiques d'une époque injustement traitée de barbare. Sa seconde femme vivait encore en 1418 et fit accord avec Guillaume, fils ainé du premier lit de son mari.

Testament page 4/24

http://www.saint-thomas-de-courceriers.eu/resources/Les+Seigneurs+De+Courceriers+1188-1417.pdf/Les+Seigneurs+De+Courceriers+1188-1417.pdf

Il reste aujourd'hui de ce château d'importantes ruines et plusieurs bâtiments, tels que la Chapelle construite en 1418 et dédiée à Saint-Jean-Baptiste, la Grange, la Fuye ou pigeonnier, le Portail (construit en 1657 par Guillaume du Blois) ainsi que son Logis, et la Tour Cloche (l'actuel gîte rural de Courceriers)

Une nuit dans une tour de guet de Mayenne

Faites la sentinelle au gîte de Courceriers, vestige d’une ancienne forteresse détruite au XVe siècle par les Anglais.

° Guillaume de Courceriers, appelé le Jeune, chevalier, seigneur du lieu, de la Ferrière, Casrouge, le Plessis de Cosmes, Cangen, servait en 1380. Il fut marié deux fois : la 1re avec demoiselle Jeanne d'Avaugour, fille de messire Juhael d'Avaugour, chevalier, seigneur du Parc, de la Roche-Mabille et de Jeanne de Chources-Malicorne. Elle était soeur de Jean d'Avaugour, mari de Jeanne de Courceriers, cousine germaine de son mari, légua par testament cent sous de rente à l'église de la Ferrière, mourut avant 1419, fut inhumée au chancel de cette église. De leur union vinrent Guillaume, Jean, Isabeau, Guillemette et Jeanne. En deuxièmes noces il épousa demoiselle Jeanne d'Aché2 qui vivait encore en 1421. Il ne paraît pas qu'ils aient eu d'enfants. La fin de sa vie fut des plus éprouvées. Il perdit successivement ses deux fils morts à la fleur de l'âge ainsi que Gui, son unique petit-fils. Après avoir marié, vers 1395, sa fille Guillemette à Ambroise de Loré, il se trouva de suite compromis dans une grave affaire dont les Archives nationales ont conservé deux pièces fort importantes qui sont publiées in extenso. M. l'abbé Angot en a fait un intéressant résumé qu'il faut lire dans L'Union historique et littéraire du Maine, T. II, p. 168. Guillaume, après avoir été quelque temps incarcéré au Châtelet de Paris comme accusé d'avoir payé et suborné plusieurs témoins, dut recourir en 1410 à des lettres de grâce et se vit condamné à 500# d'amende envers la partie adverse. Vers la même époque son petit-fils Gui devait épouser Jeanne de Landivy : les parents et amis étaient réunis pour célébrer les noces quand plusieurs des invités ayant à leur tête Gui de Laval et Philippe de Landivy, enlevèrent la fiancée et l'emmenèrent à dix-huit lieues au château de Montjean. Guillaume de Courceriers agissant au nom de son petit-fils, obtint un arrêt du parlement qui obligeait les ravisseurs à remettre Jeanne entre les mains de sa mère ; on ignore si le mariage eut lieu néanmoins

Il avait fondé une chapelle de Saint-Jean dans son château de Courceriers et la dota de la métairie du Val de-de-Pierre, en Pezé-le-Robert. Peu après, en 1419, Courceriers défendu par Ambroise de Loré son petit-fils fut pris et ruiné par les Anglais. Il se retira alors à Cangen, en Anjou. Déjà il avait fait un testament par lequel il léguait six livres de rente à l’église de la Ferrière et demandait à être inhumé en sa chapelle Saint-Jean, mais en 1421 il fit un codicille où reconnaissant que « cela ne se pourait bonnement faire » il choisit sa sépulture près celle de sa première femme, au chancel de cette église. Il mourut laissant pour principale héritière Isabeau sa fille, mariée en 1394 à Jean de Villeprouvée

 


Archives de la Mayenne, H 173, folio 213. Dans un accord passé en 1456 entre le prieur de la 
Ferrière et Cesbron de Villeprouvée (accord qui sera publié plus loin), on lit : comme il soit ainsi 
que nobles et puissans feuz messire Guillaume de Courceriers en son vivant chevalier et demoiselle 
Jehanne Davaugour sa femme seigneur et dame de Courceriers et de la Ferrière, par leur testament 
faict en darraine voulenté ou autrement deuement eussent japiecà donné, cédé et transporté à tout 
temps mais perpetuelment par heritaige au prieur de la Ferrière et à ses successeurs et à ceulx qui 
auront cause d'eulx onze livres tournois de rente, c'est assavoir par ledit seigneur de Courceriers six 
livres de rente et par ladite dame cent soûls tournois de rente à charge d'en faire et dire dudit prieur 
et de ses successeurs à tousjours mais deux maises par chacune sepmaine de l'an..

D'AVAUGOUR   SEIGNEURS DE BRETAGNE - DUCS DE PENTHIEVRE -

o Etienne †1137 & Havoise de GUINGAMP
o Henri 1110-1190 &1151 Mahaut de PREUILLY
o Alain 1er & Perronnelle de BEAUMONT-AU-MAINE
o Henri 1205 &1220 Marguerite DE MAYENNE
o Juhael & Adelise DE L'ESCLUSE marié en 1282
o Jeannin1284-1314  †1300 &1260 Isabeau DE COESMES Marié en 1298
o Louis  1307 †1369 & Guillemette DE FROULAY 1320
o Juhael 1342 1406& Jeanne DE CHOURCES-MALICORNE ou Anne de Chources ou eleonaure de Vaux
o Jeanne1376 & Guillaume DE COURCERIERS
...

 

Histoire du château de Bourgon  famille de COUESMES

Couesmes  
 

Jeanne de Couesmes, dame de La Bigottière, née vers 1275. Elle épouse Guillaume ier de Courceriers vers 1300. De ce mariage naît Guillaume ii de Courceriers. Ce sont des voisins ; le château médiéval de Courceriers, à Saint-Thomas-de-Courceriers, est proche de Bourgon. Ce château a survécu sous forme de ruines. Celui de La Bigottière semble ne plus exister, mais il y a plusieurs fermes de ce nom aux alentours de Montourtier, dont une à Louverné.

Cette famille de Couesmes, ou Coësmes, Coysmes, etc., sera assez puissante ; au xve siècle, elle portera les titres de vicomte de Saint-Nazaire, baron de Couesmes et de Lucé-du-Maine, et elle sera alliée aux Rieux, comtes d’Aumale et d’Harcourt, aux Montmorency Laval, aux Tournemine, bref, à la plus haute noblesse. Mais en 1218, elle n’en est qu’à ses débuts.

Il semble que la famille tienne son nom du village de Couesmes, autrefois Couesmes-en-Froulay, aujourd’hui Couesmes-Vaucé, en Mayenne. Mais elle a très tôt délaissé Couesmes pour Bourgon et aussi pour Lucé, aujourd’hui Le Grand-Lucé (Sarthe), où existe un très beau château des années 1750 construit pour un intendant (sorte de préfet) de Louis xv, Pineau de Lucé. Il y a eu un fief dit « de Couesmes et de Lucé » à Couesmes même avant 1405.

On sait que Robin de Couesmes, seigneur de Lucé et de Bourgon, né vers 1225, a d’une épouse inconnue quatre enfants, trois filles et un garçon :
— Guillaume de Couesmes, qui suit.
— Sereine de Couesmes († 1331), qui épouse Geoffroy ii de Montbourcher, dont elle a Jean Ier de Montbourcher. C’est une famille bretonne, mais on la croise souvent dans le Maine. Il y a un fief de Montbourcher au sud de Laval. Il existe également une branche anglaise.

—  Isabeau de Couesmes, qui épouse Jeannin d’Avaugour (vers 1251-vers 1313). Jeannin d’Avaugour est membre d’une famille issue des anciens comtes de Bretagne ; ils ont trois enfants. Au même moment, le dernier membre de la famille de Mayenne, Juhel ii de Mayenne, marie sa fille à un d’Avaugour et les d’Avaugour deviennent barons de Mayenne à sa mort, en 1220

Tableau des descendants de GUILLAUME de COURCERIERS jusqu'à MARIE CHAUVEAU (mariée avec Jean BELLANGER dont Marie mariée avec René BUISSON dont Jeanne mariée avec René BLANCHET (suivre la lignée BLANCHET  ........ dont Marcelle BLANCHET mère de Georges ROUSSEL)

C'est à partir de Bertrand CHAUVEAU père de Marie CHAUVEAU que notre branche aboutit sur les familles nobles et aisées grâce à son mariage avec Jeanne BOURDON parents Jacques BOURDON Sieur de la Barre né à Chateaubriand ( père René Sieur de La Barre et Avocat à la Cour), marié avec Anne Perrine BOISSEAU  Demoiselle de La CHESNAYE  et aboutit sur Guillaume de COURCERIERS marié avec Jeanne d'AVAUGOUR FAMILLE D'AVAUGOUR Seigneurs de Bretagne et ducs de Penthièvre dont mariage avec Havoise de GUINGAMP et Marguerite de MAYENNE (lignée de Louis IV)

 

Descendants de Guillaume DE COURCERIERS

Jusqu'à la 12e génération.

Guillaume DE COURCERIERS, décédé en 1397 julien, chevalier, seigneur du lieu, de la Ferrière, la Bigeottière, du Plessis de Cosmes, Cangen, Carrouge, Fretoy, Saint-Léonard-des-Bois, Chamarain, la Fresnaye, l'un des gentilshommes de Jeanne de Laval, veuve de Bertrand du Guesclin2.
avec ? ?, dont

  • Guillaume, Chevalier seigneur du lieu, de la Ferrière, Casrouge,le Plessis de Cosmes, Cangen,.
    avec Jeanne D'AVAUGOUR, dont
    • Isabeau DE COURCERIERS
      Mariée le 23 mars 1394 (1393/4) julien avec Jean DE VILLEPROUVEE, né en 1371 julien, décédé, Chevalier SIeur de Villeprouvée, dont
      • Jeanne DE VILLEPROUVEE.
        Mariée en 1439 julien, Champigné, avec Jean DE LA CHAPELLE, né en 1400 julien, Champigné, décédé, dont
        • Jean DE LA CHAPELLE, né en 1435 julien, Champigné, décédé en 1500 julien, Champigné (à l'âge de 65 ans), Ecuyér de Champigné.
          Marié avec Isabelle BOURRE, dont
          • Jean DE LA CHAPELLE, né en 1468 julien, décédé.
            avec Hélène THIERRY, dont
            • François DE LA CHAPELLE, né en 1510 julien, Sermaise, décédé en 1567 julien (à l'âge de 57 ans).
              Marié en 1544 julien, Sermaise, avec Jeanne DE LA GRANDIERE, dont
              • Françoise DE LA CHAPELLE, née en 1554 julien, Moisdon la Rivière, décédée le 26 juin 1597, Issé (à l'âge de 43 ans), de la maison de La Coudre.
                avec François DE LA FERRIERE, né en 1548 julien, Issé, décédé le 12 décembre 1602, Issé (à l'âge de 54 ans), Sieur des Gastines, dont
                • Renée DE LA FERRIERE, née le 21 janvier 1582 (1581/2) julien (31 janvier 1582), Issé, décédée.
                  avec Michel GOBBE, né le 21 juillet 1581 julien, Issé, décédé, Sieur de L'Esbaupin, dont
                  • François GOBBE, né le 29 mai 1606, Issé, décédé le 23 avril 1644, Chateaubriand (à l'âge de 37 ans), Sieur de la Chauvinière.
                    Marié en 1631 avec Renée LIZE, née le 11 septembre 1608, Chateaubriand, décédée le 24 mars 1670, Chateaubriand (Chapelle St-Nicolas) (à l'âge de 61 ans), Honorable femme de Laummerais, dont
                    • Renée GOBBE, née le 21 décembre 1636, Issé, décédée.
                      Mariée en 1668 avec René BOURDON, né le 20 mai 1621, Chateaubriand, décédé le 23 juillet 1702, Chateaubriand (à l'âge de 81 ans), Sieur de La Barre - Avocat à la Cour, dont
                      • Jacques BOURDON, né le 22 mars 1672, Chateaubriand, décédé le 12 avril 1725, Louisfert - 44 (à l'âge de 53 ans), Sieur de La Barre.
                        Marié le 8 février 1712, Chateaubriand (St-Jean de Béré), avec Anne-Perrine BOISSEAU, née le 15 février 1693, Chateaubriand, décédée le 29 septembre 1729, Petit Auverné (à l'âge de 36 ans), Demoiselle de La Chesnaye, dont
                        • Jeanne BOURDON, née le 9 juin 1715, Louisfert(44), décédée.
                          avec Bertrand CHAUVEAU, né en 1716, Petit Auverné, décédé le 16 mars 1785, Petit Auverné (à l'âge de 69 ans) .DONT MARIE CHAUVEAU mariée avec JEAN BELLANGER

Descendants de Marie CHAUVEAU

Jusqu'à la 6e génération.

Marie CHAUVEAU, née en 1746, décédée.
Mariée le 10 février 1767, Petit Auverné, avec Jean BELLANGER, né, Noellet, décédé, Pouancé, Charpentier, dont

  • Marie, née le 2 juin 1775, St-Michel et Chanveaux, décédée.
    Mariée le 25 février 1794, St-Michel et Chanveaux 49, avec René François Pierre BUISSON, né le 31 août 1766, Noyant la Gravoyère, décédé, Maître Charpentier, dont
    • Jeanne Perrine, née le 27 mars 1798, Noyant la Gravoyère 49, décédée.
      Mariée le 6 novembre 1820, Noyant la Gravoyère 49, avec René Julien BLANCHET, né le 12 septembre 1795, Chazé sur Argos, décédé le 23 avril 1841, Louroux-Béconnais 49 (à l'âge de 45 ans), Charpentier, dont
      • Léon Joseph, né le 4 février 1825, Louroux-Béconnais, décédé, charpentier.
        Marié le 15 octobre 1850, Louroux-Béconnais, avec Félicité DESLANDES, née le 9 décembre 1821, Solesmes, décédée, Cuisinière, dont
        • Henry Leon Rene, né le 5 septembre 1853, Louroux-Béconnais, décédé le 17 mars 1906, Angers (à l'âge de 52 ans), charpentier.
          Marié le 3 octobre 1896, Angers 49, avec Joséphine Henriette PREVAULT, née le 14 janvier 1874, Candé 49, décédée le 12 avril 1943, Angers (à l'âge de 69 ans), Cuisinière,dont
          • Marcelle Emilienne, née le 5 avril 1900, Briollay 49, décédée, Employée de commerce.
            Mariée le 8 janvier 1921, Angers, avec Léon Louis ROUSSEL, né le 12 avril 1898, Angers 49, décédé en 1940, Blanc-Mesnil (à l'âge de 42 ans), Ebéniste, dont
            • Georges Léon Marcel, né le 7 juillet 1921, Bonnoeuvre 44, metteur au point.

            •  

              CHATEAUBRIAND

               

              Chateaubriand - famille BOURDON sieur de la Barre ( avocat à la cour) - Renée LIZE (de Laummerais) (enterrée à la chapelle St-Nicolas) - BOISSEAU (de la Chesnaye) (chapelle St-Jean de Béré)

              Eglise St-Nicolas Chateaubriand

               LIZE (de Laummerais) (chapelle St-Nicolas)

               BOISSEAU (de la Chesnaye) (chapelle St-Jean de Béré

              Issé

              Maison maternelle de Gâtine

              Famille De la Ferrière (Sieur des Gastines)- GOBBE (Sieur de l'Esbaupin et Sieur de la Chauvinière)

              BREAL - LORENCE

              église paroissiale Saint-Pierre d'Issé : Du costé de l'Epistre, à l'entrée de la nef, est un banc clos  de quatre pieds et demy en carré, sur l'accoudoir duquel est un écusson qui porte : d'azur à trois fers de mulet d'argent, qui est de la Ferrière, prétendu par le sieur de Gastines",

              Le château (XIXème siècle), situé à La Gâtine (ou Gastines). Cette ancienne terre noble appartient d'abord à la famille de La Ferrière (alliée à la famille Bellot) au XV-XVIIème siècle (on mentionne un Bernard de la Ferrière en 1400),

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              Le Petit Auverné

              BASSIN
              BELLANGER
              BLANCHARD
              BOISSEAU
              CHAUVEAU (Métayer)
              DENIEUL
              GUIBOURG (laboureur de sa vacation village de la Cantraye) et Sieur de La Cantraye
              PALIERNE
              ROUESNE
              TESNEREL
              YRON
               

              SERMAISE 

              DE LA CHAPELLE Seigneur de la Bofférière et de la Coudre
               

              GREZ-NEUVILLE


              DE LA GRANDIERE (Seigneur de la Grandière)


              c

              Château de la Grandière

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              MAZE

               Guillaume DE LA GRANDIERE, Seigneur de Montgeoffroy

              Jeanne DE LA GRANDIERE est née à une date inconnue.

              Elle est la fille légitime de Guillaume DE LA GRANDIERE, Seigneur de Montgeoffroy (Mazé 49), de Foulles, de Lavau et de la Clairembaudière et de Marie DE SOUCELLES.

              Elle épouse François DE LA CHAPELLE, le fils légitime de Jean DE LA CHAPELLE et de Hélène THIERRY.

              Ce couple aura un enfant :

              -Françoise née en 1554.

               Ils se marient  le jeudi 20 novembre 1544 à Sermaise.

               

              Appartenant en 1209 à Geoffroy de Chateaubriand, le château est la propriété au milieu du XVIème siècle, de la famille de La Grandière. En février 1676, celle-ci vend la demeure au Maréchal Erasmes de Contades, gouverneur de la place de Strasbourg. Il fait alors bâtir, décorer et meubler en 1772 le château actuel où rien n’a changé depuis.

              Ancien fief et seigneurie relevant du Plessis-au-Jau, réuni depuis à Fontaine Guérin dont le seigneur avait le droit en temps de chasse de venir abreuver sa meute dans les cuisines du château.

               

              En 1772, le maréchal de Contades décide de détruire l’ancien château et de faire bâtir à sa place un autre château plus adapte à son rang. Le maréchal fait appel à l’architecte parisienNicolas Barre pour la construction de la demeure. Les douves, les tours du XVIeme siècle et la chapelle de René de La Grandière datant de 1543 furent néanmoins conservées.

               

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              SOUCELLES )

              o Anseau & Madeleine de BAÏF soeur de Lazare de BAIF


              o Marie &1521 Guillaume DE LA GRANDIERE Seigneur de Montgeoffroy Mazé

               Anceau de SOUCELLES x Madeleine LE BAÏF soeur de l'illustre Lazare LE BAÏF ambassadeur de François Ier à Venise et maitre des requetes et de Marthe LE BAIF dame de Chemans, fille de Jehan de BAIF sgr de Baif (Sablé-sur-Sarthe, 72), de Mangé et des Pins et Marguerite CHASTEIGNIER d'où
              1. Marie de SOUCELLES x 18.4.1521 pc Pelletier notaire à Angers Guillaume de LA GRANDIERE seigneur de Montjouffray, de la Clairambaudière, de Foulels et de Lavau. C'est lui qui fera bâtir en 1543, la belle chapelle Sainte-Catherine de Montgeoffroy (témoins au mariage, Jean de CHEMANS seigneur de Moulins, René LE BAIF seigneur de Baif et Adone LE BAIF prieur de Champagné d'où
              a. François de LA GRANDIERE seigneur de Montjouffray et de la Saulaye x 29.4.1544 au château deu Verger, en Anjou devant Mtre Jacquet notaire à Mathefelon Marguerite de SARCÉ fille de René de SARCÉ fille de noble René de SARCÉ seigneur de Sarcé et Catherine de PERIERS (témoins Ambroise de MAILLÉ dame du Bouchet et Jean de SARCÉ
              b. Jeanne de LA GRANDIERE x 20.11.1544 François de LA CHAPELLE écuyer seigneur de la Coudre et de Turzay d'où postérité

               

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              Dénominations anciennes
               

              On rencontre souvent sous l'ancien régime des termes particuliers pour qualifier les personnes, les fonctions, ou les choses.
               

              Seigneur de... / homme de fief : 
              Propriétaire d'un fief ou d’une terre auxquels sont attachés certains droits (lods, cens, ventes, champart, corvées, banalités, péages, chasse...). Un seigneur est souvent noble, mais pas nécessairement : certains roturiers ont acheté des seigneuries, ce fait était assez fréquent.
               

              Sieur, sieur de... : 
              Le mot Sieur devant le nom était un titre honorifique donné à un bourgeois, marchand aisé, ou rentier, sans avoir spécialement une origine noble. Sieur de... signifiait que l'on était seigneur (propriétaire) d'un lieu. Après le XVIIIème siècle, le terme sieur est devenu une expression courante pour désigner Monsieur...
               

              Écuyer : 
              Titre que portaient en France et en Espagne les simples gentilshommes, tous les nobles faisaient suivre leur nom de ce titre ou, pour ceux qui y avaient droit, de celui, supérieur, de chevalier. Progressivement le titre d'écuyer a été attribué à tous les nobles qui ne portaient pas de titre honorable (chevalier, baron, vicomte, comte, marquis ou duc). C'est donc le titre de noblesse de ceux qui n'en ont pas un autre. Le titre honorifique n'étant hérité que par l'aîné ; les autres sont nobles sans titre : ils sont écuyer jusqu'à ce qu'il leur en soit octroyé un plus honorable (ou honorifique)
               

              Dame : 
              Femme d'un Gentilhomme qui est distinguée du bourgeois & du peuple. Une fille qui épouse un noble, Marquis ou Comte devient Dame, elle est Dame damée, c'est à dire, à bon titre ; Dame à carreau, qui a droit de se faire porter un carreau de velours à l'église, & à qui on porte la robe. Par la suite le terme était appliqué pour la femme d’un bourgeois ou riche marchand. Comme pour l’expression « Sieur », après le XVIIIème siècle, le terme est devenu une expression courante pour désigner simplement « Madame »..
               

              Demoiselle ou Damoiselle : 
              Terme équivalent au titre d’écuyer ou seigneur pour une femme, issue de famille noble, elle est aussi femme ou fille de gentilhomme, ce nom ne se donnait autrefois qu'aux filles des Princes & des Grands Seigneurs, des Barons & des Chevaliers, qui n'etaient pas mariées. Ce mot vient du Bas-Breton ou ancien Gaulois, où on disait Demesell. Puis l'usage en fut étendu aux femmes mariées de naissance bourgeoise et, au XIXè siècle aux jeunes filles d'une certaine condition. De nos jours il est appliqué uniquement aux filles qui ne sont pas mariées.
               

              Noble Homme : 
              Homme vivant noblement, mais non noble, les vrais nobles portant obligatoirement le titre d'écuyer ou chevalier.
               

              Honorable ou honnête Homme : 
              Bourgeois ou notable, quelques fois bailli d’une terre, le terme était simplement un adjectif qui stipulait que la personne était de "bonne naissance, honorable, convenable, considérable", l’expression est opposée à la noblesse, seulement utilisée par les marchands et artisans.

               

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